Ils moururent bien des années plus tard (le Père Hubert Schiffer vécut jusqu'à l'âge de 63 ans, il était âgé de 30 ans au moment de l'explosion le 6 août 1945).
Bien sûr, quand on essaya de savoir, scientifiquement, comment ils s'en étaient sortis si bien portants, qu'on ne trouva pas pourquoi, et qu'ils expliquèrent que c'était grâce à leur prière quotidienne du Rosaire, les scientifiques ne les croyèrent pas. Le Père Schiffer dira plus tard : "Ils n'ont toujours rien compris."
Ils vécurent longtemps, sans perte d'audition ou de vue quelconque dûes aux radiations à long terme, ou de maladies inhérentes à l'explosion. "Nous pensons que nous avons survécu parce que nous vivions le message de Fatima. Nous avons vécu et prié le Rosaire quotidiennement dans cette maison. Plus de 55 ans plus tard, les scientifiques sont absolument incapables de fournir une explication plausible".
Les Jésuites expliquent, à juste titre, avoir reçu une sorte de "bouclier de protection" de la Sainte Vierge contre les rayonnements et leurs effets sur le court et long terme. Le même cas se produira à Nagasaki, avec le couvent franciscain de Saint Maximilien Kolbe, où les frères priaient là aussi quotidiennement le Rosaire. Ce qui correspond exactement aux paroles de la Vierge Marie à Saint Dominique et Alain de la Roche "Celui qui se confie en moi par le Rosaire, ne périra pas", ou encore "Ceux qui propageront mon Rosaire seront secourus par moi dans toutes leurs nécessités".
Source / Catholic Herald / Marie de Nazareth
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